Archives annuelles : 2016

9 Déc
2016
Le lit le plus confortable du monde est fait à la main !

Spécialiste suédois dans la literie de luxe artisanale, Hästens lance son tout dernier lit Vividus, une création d’une qualité exceptionnelle. Il aura fallu 320 heures https://www.acheterviagrafr24.com/prix-du-viagra-en-pharmacie/ de travail aux artisans litiers de Köping en Suède, pour élaborer ce chef d’oeuvre, entièrement fait de matériaux naturels.
Depuis 6 générations, Hästens développe son savoir-faire et ses techniques de couture pour réaliser des lits uniques pour les dormeurs les plus exigeants.

Le premier challenge, était il y a dix ans : réaliser le meilleur lit du monde. Quatre maîtres litiers les plus qualifiés, expérimentés et passionnés de l’entreprise,
se sont consacrés à ce défi. « Nous ne voulons pas en rester là. Nos artisans sont ambitieux et nous avançons ensemble pour atteindre la perfection. Notre expertise nous conduit sans cesse depuis plus de 160 ans vers des projets comme celui du Vividus. Ensemble, nous n’avons pas uniquement créé un lit d’exception, mais également un standard de qualité auquel tous les autres pourront se mesurer » déclare Jan Ryde, propriétaire de la société suédoise.

Hästens a aménagé un atelier à part pour la création du Vividus. Chacune des pièces du lit a été longuement réfléchie. Les différents matériaux (coton, laine, crin de cheval, bois de séquoia…) ont été assemblés à la main pour aboutir à l’équilibre parfait et à un confort inégalé.

Il est composé de 200 kilos de matériaux naturels. On y trouve différentes fines couches de coton, de laine, de mohair (poil de chèvre) et de crin de cheval. Ce sont des matériaux aérés qui neutralisent l’humidité et gardent une parfaite température. Son matelas est cousu avec une technique particulière, le rendant plus flexible et confortable. Le cadre du lit est fait en bois de séquoia du nord de la Suède.

Les designers d’Hästens ont réuni les meilleures conditions pour que les muscles du corps reposent naturellement, augmentant les chances d’avoir un sommeil profond, réparateur et une sensation de flottement très agréable, comme sur un nuage. Son prix fait aussi rêver https://www.acheterviagrafr24.com/viagra-pharmacie/ : 119 000 euros ! De quoi faire tourner les têtes.

Hästens fabrique d’autres lits également fait mains, plus accessibles cette fois. Parmi eux, le bel Auroria à partir de 14 580 euros en 180×200 cm avec surmatelas BV. Découvrez toutes les nouveautés Hästens sur leur site !

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7 Déc
2016
Foie gras, on aime.

Depuis 2005, le foie gras est « Patrimoine culturel et gastronomique français « et oui ! Du coup, apprenez à le mieux connaître et surtout à le préparer vous-même, ce n’est pas si compliqué.

L’auteur, Jean-Charles Karmann, est chef de https://www.viagrasansordonnancefr.com/viagra-achat/ la création Nomad du groupe Eurosites et photographe de surcroit, ce qui lui donne le bon oeil ! Sa passion, le foie gras, il l’explique très simplement, le décrivant comme « un ingrédient complexe de simplicité ». Et pas à pas, il nous emmène vers sa fabrication. Commençant par le début, ôter toutes les veines et vaisseaux qui en gâcheraient le goût et l’esthétisme.

Puis, glissez les fois préparés dans un bocal, une terrine avec un doigt d’alcool, cognac ou porto, sel, sucre, poivre, et faites cuire dans une casserole pendant 30 à 45 mn selon. Dégustez froid avec de la fleur de sel sur un bon pain de campagne, quel régal !

Une fois la méthode de base intégrée, à vous la farandole des recettes magnifiques : cœur coulant de pommes de terre au foie gras, foie gras aux bananes confites et parfum de rhum brun, foie gras de Noël au sapin, et même foie gras rôti au pop corn.
Bref, le chef ose tout et nous embarque dans un tourbillon de saveurs à partager en famille et entre amis, le jour des festivités. Au total, 20 recettes toutes photographiées pas à pas pour nous aider à la tâche.
Faire son foie gras: vous ne direz plus jamais que c’est trop compliqué !

6 Déc
2016
Bernard Buffet, l’incompris au pinacle

Une exposition coup de poing, inclassable, fascinante et révélatrice d’un art original, unique. Bernard Buffet, controversé de son temps, voit, aujourd’hui, les passions s’apaiser et les esprits reconnaître le génie d’un artiste qui mérite largement sa réhabilitation.

Le musée d’Art Moderne de Paris accueille magnifiquement une retrospective de l’oeuvre de Berard Buffet, peinte atypique, aujourd’hui salué par la critique.

Bernard Buffet, né en 1928, montre très vite un talent de peintre en étant reçu à 16 ans aux Beaux- Arts. Il ne cessera de peindre, se formant au Louvre dans cette période d’après-guerre, cherchant sa voix entre tradition dans la ligne de Gustave Courbet ou Utrillo et influence du mouvement de la Jeune Peinture aux tendances réalistes. A 19 ans, il est récompensé par le prix de la Critique pour sa toile « deux Hommes dans une chambre ».

Son style unique et très original, met en oeuvre comme pour ces portraits, une palette réduite de couleur, camaïeu de gris, décor simplifié, personnage longilignes, graphiques..Son art systématique est reconnaissable entre tous : « Horreur de la guerre », un triptyque et vingt six aquarelles peints en 1954, thème ambitieux qui donne une portée universelle à son discours, est d’une grande expressivité. Parmi ses oeuvres, citons « Crucifixion » peint en 1946, tout en force et d’une grande puissance, thème du « Cirque » en 1956: trapézistes, jongleurs, clowns, acrobates…déroutant par le côté triste, glacé, les visages fermés, les chairs blafardes.

En février 1960, l’exposition « Oiseaux » à la galerie David et Garnier, offre à un public nombreux, succès de scandale, des peintures monumentales, réinterprétant de façon agressive le thème de Léda et le Cygne.

Aujourd’hui, la variété, l’abondance et la qualité des peintures signées Buffet sont sans conteste, de belle influence. Le parcours proposé reste chronologique, permettant de visualiser, de sentir l’évolution de l’artiste à travers les années. Posant la question de la figuration ou de l’abstraction après guerre, l’art de Bernard Buffet se réfère à la peinture d’histoire, prenant le parti pris du figuratif traité de façon austère, dur, parfois caricatural, unique en soi. Le grand public l’aime, le monde fermé de l’art le rejette, il navigue entre ses thèmes de prédilections : natures mortes, auto-portrait d’inspiration religieuse, allégorique ou littéraire.

Bref, cet artiste méritait bien une réhabilitation en bonne et due forme, le musée d’Art Moderne lui rend hommage. Bien mérité.

Allez-y vite. Jusqu’au 26 février.

Bernard Buffet, Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, 11 av Pt Wilson, 75016 Paris.