25 Mai
2015
L’œuf, le chouchou des Français !

Sain, riche en protéines, facile à cuisiner, délicieux et bon marché, qui suis-je ?L’oeuf bien sûr, à votre service. Et les Français les aiment qui en mangent 216 par an et par habitant.

Quoi de meilleur qu’un œuf à la coque ? Son jaune, doux et subtil, son blanc un peu cuit, l’ensemble léger, goûteux avec les mouillettes au beurre salé. Un moment de plaisir pour se sustenter, sans bourse trop délier ! Que dire d’une omelette baveuse faite en 3 mn, avec quelques fines herbes, sel et poivre. Elle glisse dans l’assiette et se mange avec délectation en quelques minutes.

97% des Français consomment des oeufs avec plaisir, une à deux fois par semaine pour certains. Ils en donnent à leur enfant car ils savent que l’œuf joue un rôle majeur dans leur croissance. Protéines, phosphore, 9 vitamines, fer, iode, sélénium…l’œuf est une mine de bonnes choses pour la santé, des enfants comme des adultes.

La filière française a mis au point un repère facile à lire « Pondus en France ». Du « Made in France » qui plait au Français, car leur garantissant des oeufs bénéficiant d’une qualité sanitaire optimale, produits dans le respect des nouvelles normes européennes, les plus exigeantes du monde pour les poules.

Les œufs produits viennent de poules élevées en plein air, label rouge, de poules pondeuses bio, ou encore de pondeuses au sol ou de pondeuses en élevages standards.

Le 9 octobre 2015, les professionnels français de l’œuf se mobilisent en faveur des plus démunis et pour la 5^e année, ils vont offrir 500 000 œufs à des associations caritatives.

Bref, consommer des oeufs pour le meilleur de votre santé et surtout pour le plaisir gustatif !

Livret d’information pour les jeunes édité par le CNPO à l’occasion de la journée mondiale de l’œuf : leblogdeloeuf.com

24 Mai
2015
L’Esprit Saint, le doigt de Dieu, ici raconté

Entre les fêtes de l’Ascension et de la Pentecôte, il est intéressant de rappeler l’histoire du Saint-Esprit, la troisième dimension théologique, souvent mal connue. Le Père Vulliez, prêtre du diocèse d’Annecy, nous le fait (re)découvrir avec force rappel des textes saints et de la Tradition.

« L’Esprit planait sur les eaux », dit la Genèse (Gn1,2), « mots simples et fluides, explique le Père Vulliez, « en ouverture de la Bible, qui confèrent une ampleur inouïe à la présence de l’Esprit ». Le ton est donné et l’histoire de l’Esprit se révèle au fil des pages.

L’auteur revient sur les définitions détaillées des mots : charismatiques, pentecôtistes, le spiritisme…bien utile.

« Si Dieu est Dieu, son Esprit parle à tous et à chacun.» Cette déclaration faite lors de Vatican II, « fut une rupture aux conséquences incalculables », raconte l’auteur, qui n’a de cesse d’expliquer que l’Esprit est à l’œuvre sans cesse. Présent, s’il est demandé et imploré, Il agit, soyons en sûr. Mais Il n’agit que si l’homme lui demande, pas de

mobilisation sans engagement ! « Jeux merveilleux de la collaboration active du ciel et de la terre » précise le Père Vulliez.

L’ouvrage est lumineux et plein d’optimisme car l’Esprit de Dieu est au service de l’Homme et notre pape François l’a placé au cœur de sa spiritualité, ne perdant pas une occasion de rappeler l’union de l’Esprit et de l’Eglise. « L’Esprit Saint est l’âme, la sève vitale de l’Eglise et de tout chrétien » dira t’il lors de son voyage en Turquie en novembre 2014.

Bref, il n’est que temps de lire cet ouvrage, précis, clair, à la fois historique, spirituel et pratique. Bien édifiant sur la troisième des Trois Personnes, après le Père et le Fils.

Une prière à l’Esprit, sobre et belle, termine le livre :

« Esprit

De douce et transparente lumière

Souffle de Dieu

Et flamme d’humanité nouvelle

Viens. »

Petite histoire du Saint-Esprit, par le P. Hyacinthe Vulliez, 9,90 euros Edition Salvator.

19 Mai
2015
Un champagne joyeux !

Au cœur de la Côte des Bar, à proximité de Bar sur Aube, se niche la cave coopérative, qui fort de ses 60 coopérateurs, produit depuis 1980, un champagne au nom de Charles Clément. Dégustation des six cuvées, dans une gamme de prix très abordable.

Le domaine s’étend sur 110 hectares répartis sur une dizaine de comunes alentours. Les cépages classiques, pinot noir, pinot meunier et chardonnay permettent les alliances à la base des meilleurs jus.

Le chef de cave associé à l’œnologue de la Cave prend son temps pour que chaque cuvée repose au moins trois années, voire plus pour les millésimés, soit plus que la réglementation, dans un souci réellement qualitatif.

L’entrée de gamme, le blanc de blanc (23 euros) offre à l’oeil une robe claire, transparente. Des arômes d’agrume s’en dégagent qu’on retrouve en bouche associée à une note presque briochée. Un vin idéal à l’apéritif.

La Tradition Brut (20 euros), à dominante de pinot noir, à robe dorée, à bulle fine, offre des senteurs citronnées et florales. En bouche, le citron devient confit associé à une pointe de pamplemousse. Servez-le avec un poisson aux fines herbes.

Le blancs de noirs (23 euros), à 100% pinot noir dont une partie issue de vins de réserve, à robe jaune paille, à nez de litchis et de mangue, se montre plus vineux, plus structuré, idéal avec une volaille, un rôti de veau tendre aux girolles.

La Cuvée Spéciale (27 euros), à dominante de chardonnay, à robe dorée, à bulles persistantes, présente un joli nez de fruits à chair blanche (poire, pêche). Sa bouche est équilibrée, nette et fraiche avec une belle longueur au palais. Dégustez ce champagne à table avec des rougets, un bar au fenouil…

Le millésime 2004 (30 euros), d’une couleur plus soutenue, à nez d’agrumes confits et de fruits secs en final, donne une bouche onctueuse, presque crémeuse avec un équilibre entre fraicheur minérale et notes caramélisées. Servi en coffret, il constitue un beau cadeau pour l’amateur éclairé.

Enfin, la Cuvée Rosé (23 euros) à 100% pinot noir, à robe saumonée, aux arômes de bonbons, à la bouche ronde et fraiche en finale, agréable en apéritif, à servir bien fraiche à 8°C.

Champagne Charles Clément.

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